TÉMOIGNAGE. « Ado, c’était horrible ». Deux sœurs libèrent la parole sur le syndrome des ovaires polykystiques

Eva et Solène Lecoq ont toutes deux été diagnostiquées du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) après plusieurs années d’errance médicale. Et tentent maintenant de libérer la parole sur le SOPK. Sur Instagram, elles fédèrent désormais une communauté de près de 25 000 femmes. Eva nous a raconté son parcours.