
Coronavirus : le nombre de contaminations en Normandie a fortement progressé depuis Noël

Visite d'Emmanuel Macron, président de la République ce mardi 12 janvier 2021 à Vernon:
https://www.ouest-france.fr/normandie/emmanuel-macron-est-arrive-en-normandie-7115233
Le président de la République Emmanuel Macron est en déplacement dans l’Eure ce mardi 12 janvier 2021. Au lendemain du sommet de Paris sur la biodiversité, il a visité le site d’Ariane à Vernon et vient d’arriver dans une ferme, à Tilly.
Au lendemain du One planet summit à Paris, le président de la République Emmanuel Macron et quatre ministres sont en Normandie pour un déplacement sur le thème de la préservation du climat, ce mardi 12 janvier 2021.
À Vernon, accompagné des ministres Bruno Le Maire et Sébastien Lecornu, le président visite le site d’ArianeGroup et découvre le moteur Prométhéus, construit à 75 % par imprimante 3D.
Emmanuel Macron annonce l’attribution de 500 millions d’euros pour le spatial dans le plan de relance, dont 30 millions pour le site de Vernon, qui consacrera la moitié de cette somme au développement de Prométhéus. « Il faut que la France soit toujours une nation d’excellence face à la concurrence », a souligné le Président.
Son souhait : « Bâtir un modèle plus résilient aux crises car, prévient-il, celle-ci est le prélude à d’autres crises climatiques. La priorité est d’avoir un plan de relance qui se décline sur le terrain concrètement, vite et fort, de manière tangible. »
« La Normandie est un territoire d’excellence spatiale et pour l’hydrogène. On va continuer à investir », poursuit Emmanuel Macron, soucieux d’une mutation de l’industrie aéronautique qui offre « des avions plus écologiques, moins lourds et moins émetteurs de CO2 »
Au lendemain du One planet summit à Paris, le président de la République Emmanuel Macron et quatre ministres sont en Normandie pour un déplacement sur le thème de la préservation du climat, ce mardi 12 janvier 2021.
À Vernon, accompagné des ministres Bruno Le Maire et Sébastien Lecornu, le président visite le site d’ArianeGroup et découvre le moteur Prométhéus, construit à 75 % par imprimante 3D.
Emmanuel Macron annonce l’attribution de 500 millions d’euros pour le spatial dans le plan de relance, dont 30 millions pour le site de Vernon, qui consacrera la moitié de cette somme au développement de Prométhéus. « Il faut que la France soit toujours une nation d’excellence face à la concurrence », a souligné le Président.
Son souhait : « Bâtir un modèle plus résilient aux crises car, prévient-il, celle-ci est le prélude à d’autres crises climatiques. La priorité est d’avoir un plan de relance qui se décline sur le terrain concrètement, vite et fort, de manière tangible. »
« La Normandie est un territoire d’excellence spatiale et pour l’hydrogène. On va continuer à investir », poursuit Emmanuel Macron, soucieux d’une mutation de l’industrie aéronautique qui offre « des avions plus écologiques, moins lourds et moins émetteurs de CO2 ».
Cet après-midi, c’est avec Julien de Normandie, le ministre de l’Agriculture, et sa collègue à la transition écologique Barbara Pompili, que le Président est arrivé à Tilly, où il visite la ferme des Ruelles, une exploitation qui aspire depuis plus de vingt ans à produire différemment dans une démarche agroécologique.
À l’occasion de ce déplacement, il échangera avec différents acteurs de la filière, notamment des agriculteurs bénéficiaires du volet agroécologique du plan France Relance (1,2 milliard d’euros). Dix agriculteurs, inscrits dans un groupement d’intérêt économique et environnemental, sont inscrits à la table ronde.
Emmanuel Macron a salué le travail de Michel Galmel, propriétaire de la ferme des Ruelles et pionnier de la transition agroécologique grâce à l’implantation de plus de 600 arbres depuis 2017, au milieu des champs. Le professionnel a aussi implanté 4 kilomètres de haies. « Un modèle duplicable », selon le chef de l’État.
Dans les Echos en date du 12 janver 2021 (p.25) le Nouveau Maître de Rouen fait parler de lui... Pas à son avantage, au sujet du contournement autoroutier Est de Rouen:
Normandie à hauts risques à Rouen: après LUBRIZOL voici... MULTISOL!
Chez Multisol, « on est passé à côté d'une catastrophe pire que Lubrizol ! »
Un incident industriel a eu lieu au sein de Multisol, près de Rouen, dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier 2021. Des salariés racontent ce qu'il s'est passé.
Les habitants de l’agglomération rouennaise, à travers leurs représentants élus, veulent savoir ce qu’il s’est passé dans la nuit du 31 décembre 2020 au 1er janvier 2021, au sein de l’usine Multisol de Sotteville-lès-Rouen. Vraisemblablement, les mauvaises odeurs senties dans la métropole résultent d’un « incident » industriel de taille.
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Le sujet sera abordé lors du Conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques (Coderst), mardi 12 janvier. Pour la première fois, des salariés acceptent de raconter ce qu’il s’est passé cette nuit-là, et mettent en cause la sécurité du site.
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Dans un premier temps, ces odeurs avaient été identifiées par Atmo Normandie comme étant très certainement liées aux feux de cheminée. Une version appuyée par la préfecture de Seine-Maritime. Mais selon ces salariés interrogés par 76actu, cette odeur de « pneu brûlé » provenait bien de leur usine. « Cela ne fait aucun doute, vous auriez senti l’odeur qu’il y avait le lundi quand on a repris le boulot », peste un employé.
Plusieurs salariés ont accepté de revenir en détail sur ce qu’il s’est passé chez Multisol. « Nous avons tous fini à midi jeudi 31 décembre. Et malheureusement, il y a une équipe qui a oublié de couper la « recirculation » sur une unité de fabrication, qui permet de chauffer le produit. »
Cette unité de fabrication mélange une huile et des polymères à une température de 120°C pour produire un additif pour lubrifiants.
En oubliant d’appuyer sur ce bouton, le thermomètre de cette unité de fabrication s’est emballé. « Dans la nuit du 31 décembre 2020 au 1er janvier 2021, vers trois heures, une alarme incendie s’est déclenchée à cause des fumées, explique un employé. Un de nos chefs a alors été prévenu par l’entreprise Securitas et s’est rendu sur les lieux vers huit heures, le 1er janvier. »
Selon le témoignage de ces salariés, l’usine était « enfumée » et le thermomètre était grimpé jusqu’à 251°C. « Alors que le point d’éclair [température à partir de laquelle le produit peut s’enflammer, NDLR] est de 204°C. Normalement, cela ne dépasse jamais les 120°C », indique un autre employé.
« Le responsable est arrivé tard, mais tout de même à temps pour éviter une catastrophe, explique une de nos sources. Car l’unité de fabrication se trouve juste à côté de la chaufferie à gaz. S’il y avait eu une étincelle ou si l’on n’avait pas arrêté à temps, tout aurait explosé ! » « On est passé à côté d’une grosse catastrophe industrielle, bien pire que Lubrizol », ajoute un autre agent.
« Quand nous sommes arrivés le lundi, ça puait partout autour de l’usine, sur le parking, et à l’intérieur, c’était intenable. On a eu des maux de tête, des nausées. Mais on ne nous a rien dit. Il y avait juste écrit sur un cahier de consignes qu’il ne fallait pas toucher à l’unité de fabrication qui avait surchauffé. On n’était au courant de rien. Sur le thermomètre du mélangeur concerné, il était affiché encore 150°C le lundi matin… »
Cette surchauffe serait donc due à un oubli. « Mais l’erreur humaine devrait être possible sans risque d’explosion ! L’usine doit pouvoir parer à l’erreur d’un salarié. Il faut une deuxième sécurité, un coupe-circuit en cas de surchauffe, quelque chose qui permette de tout arrêter. »
De plus, ce salarié ne comprend pas pourquoi il n’y a personne la nuit pour surveiller Multisol. « Tous les week-ends, l’usine est vide alors que les unités de fabrication tournent au ralenti. Certes, il n’y a pas de chauffe, mais il faudrait une surveillance les week-ends, la nuit, tout le temps. »
Ils dénoncent des « mensonges » de la part de leur direction aux services de l’État. « Un incident comme ça, il fallait appeler les sapeurs-pompiers, prévenir la préfecture… Ce n’est pas normal ! » La préfecture assure qu’aucune anomalie ne lui a été rapportée, alors même que la Direction régionale de l’environnement (Dreal) s’est rendue sur place pour une inspection, à la suite d’un « signalement anonyme », mercredi 6 janvier.
On a dû tout nettoyer et tout cacher pour que les services de l'État ne voient rien. La direction n'a rien dit, a noyé le poisson.
Un salarié
La Dreal est revenue chez Multisol le lendemain, jeudi 7 janvier 2021, à la suite d’un communiqué de la CGT envoyée à la presse. « Là, notre direction savait qu’il y avait eu une dénonciation, ils ont donc admis qu’il y avait eu un incident. Mais encore une fois, ils n’ont pas tout dit, notamment sur la température. Ils ont dit que la température était montée à 150°C et non à 251. »
Interrogée à plusieurs reprises par 76actu, Multisol assure qu’il s’agissait d’un « incident mineur » et la direction n’a pas cru bon de devoir l’évoquer. Multisol admet qu’il y a eu « un peu de fumée, mais pas de flammes ». Cependant, la direction indique ne pas avoir connaissance d’une température montée à 251°C, comme l’affirment ces salariés.
Multisol confirme l’« erreur humaine », sans plus de précision. « Une enquête interne et une enquête de la Dreal sont menées pour savoir exactement ce qu’il s’est passé », souligne l’entreprise.
Le préfet Pierre-André Durant a reconnu lundi 11 janvier, que l’usine a manqué à son devoir en n’effectuant aucun signalement.
Si l'administration a bien effectué toutes les diligences requises au vu des informations ou rumeurs dont elle disposait, l'entreprise Multisol n'a quant à elle pas opéré de signalement ce qui ne saurait être accepté.
Pierre-André Durand préfet de Seine-Maritime.
Le représentant de l’État garantit dans un courrier adressé aux élus de la Métropole, que « cet incident fera l’objet d’une mise en demeure et d’une révision de l’arrêté d’autorisation de cette installation classée pour la protection de l’environnement ».
Premiers échos de la campagne pour les élections régionales: on attend encore des idées précises sur la Normandie!
Le Vimonastérien Hakim Miftah est colistier de Nathalie Goulet aux élections régionales 2021 pour la Normandie. Lundi 11 janvier 2021, il était à Camembert, dans l'Orne.
Nathalie Goulet lance sa campagne en distribuant des camemberts AOP portant une étiquette à son effigie et aux couleurs de l’UDI. Ce lundi 11 janvier, c’est en voisin que son colistier Hakim Miftah, 2e sur la liste dans le Calvados, est venu en offrir un à Michel Cousin, maire de Camembert (©Le Réveil normand)
C’est au cœur même du village de Camembert qu’Hakim Miftah, colistier de Nathalie Goulet aux élections régionales 2021, est venu, lundi 11 janvier 2021, remettre symboliquement au maire de Camembert, Michel Cousin, l’un des camemberts AOP (Appellation d’origine protégée) dont l’étiquette est à l’effigie de la candidate et aux couleurs de son parti, l’UDI (Union des démocrates indépendants) dont elle porte également l’étiquette pour ce premier scrutin régional de la Normandie réunifiée.
Un clin d’œil de la sénatrice de l’Orne, officier de la Confrérie du véritable camembert de Normandie, à ce produit ô combien emblématique de la région normande et de la France, connu à travers le monde.
Les élections devraient avoir lieu en juin prochain. « Ce sera fonction de l’évolution du contexte sanitaire » indique Hakim Miftah. Le Vimonastérien de 44 ans, cadre depuis une vingtaine d’années pour le compte d’une entreprise autrichienne dans l’industrie, est président de l’association des musulmans de Vimoutiers, président du Conseil départemental du culte musulman de l’Orne et président de l’Union des Mosquées de France Normandie. Il a été sollicité par Nathalie Goulet.
« Nous avons eu l’occasion de travailler ensemble à plusieurs reprises. C’est quelqu’un que je ne connaissais pas plus que ça, mais les valeurs qu’elle défend, sa réactivité, sa motivation, sa présence que j’ai pu constater en tant que sénatrice, m’ont incité à rejoindre sa liste.
Nathalie Goulet, c'est la proximité. Elle aime sa région.
Hakim Miftah
Et puis, ajoute Hakim Miftah en riant « on ne peut pas dire non à Nathalie Goulet ! ».
Le Vimonastérien brigue donc pour la première fois les suffrages des électeurs. Il se situe à la 2e place dans le Calvados sachant que « pour chacun des cinq départements, le choix a été fait que ce soit cinq femmes qui figurent en première place. Je trouve ça super ».
« Nous ne nous présentons pas contre le président sortant, mais contre les extrêmes, et pour la Normandie ».
Hakim Miftah
Un véhicule est floqué à l’image de la candidate et aux couleurs de l’UDI avec ce slogan de campagne « une Normandie qui vous protège ». Ce bureau mobile de Nathalie Goulet et de ses colistiers sillonnera les cinq départements normands « pour une campagne de proximité ».
Michel Cousin, maire de Camembert, a eu ces mots : la campagne pour les régionales, c’est parti ! ». Il se dit prêt à accueillir les autres candidats et s’attend « à de nombreux appels de tyrosémiophiles » des collectionneurs qui ne manqueront pas de se mettre en quête de cette nouvelle étiquette.
Commentaire de Florestan:
Un récent sondage (novembre 2020) sur les intentions de vote au premier tour des prochaines élections régionales en Normandie donnait les résultats suivants:
25% pour le RN, 22% pour Hervé Morin, 15% pour un candidat LR, 12% pour l'alliance PS-Ecolo-Pcf. On constate une certaine dispersion des intentions de vote qui ouvre le risque d'une quadrangulaire au second tour: s'il s'agissait de ne pas se présenter "contre le président sortant mais contre les extrêmes et pour la Normandie", pas sûr qu'une candidature en solitaire de plus au premier tour soit le moyen le plus efficace pour y parvenir!
Après lu le roman le plus chiant de toute la littérature française ("la nausée" de Sartre qui fut prof de philo au lycée du Havre), le site TOPITO considère que Le Havre est la ville la "plus chiante" de France: évidemment c'est faux!
Alors que le site Topito classe Le Havre parmi les "villes les plus chiantes de France", la rédaction oublie tout devoir d'objectivité et vous prouve le contraire. Suivez le guide.
Toujours en alerte lorsque la Normandie fait parler d’elle, la rédaction de 76actu n’a forcément pas manqué le classement publié par le site humoristique Topito, lundi 15 juillet 2019 et de nouveau partagé le 8 janvier 2021, faisant mention du Havre (Seine-Maritime). Quelle ne fut pas notre déception en découvrant qu’il s’agissait en fait du « Top 15 des villes les plus chiantes de France, celles où on s’ennuie à mort ».
Afin de rétablir la vérité dans cette affaire, nous avons mené notre contre-enquête pour établir un Top 10 des éléments qui prouveront au monde que, comme les Havrais le savent déjà, la cité Océane est au top du swag.
C’est probablement l’atout numéro 1 du Havre : la plage se trouve à quelques rues du centre-ville, et est même directement desservie par le tram. Sortir du bureau ou de chez-soi et pouvoir, en quelques minutes, se retrouver en bord de mer pour piquer une tête, déguster une glace ou siroter un cocktail, ça n’a pas de prix !
Les amateurs du genre le savent, Le Havre a longtemps été un haut lieu du rock en France : Scorpions, Status Quo ou encore les Ramones y ont joué ! La tradition est aujourd’hui perpétuée dans plusieurs établissements comme le McDaid’s, et ce n’est pas Little Bob, figure emblématique du rock, qui dira le contraire.
Une tradition musicale entretenue encore aujourd’hui par le Tetris, salle de musiques actuelles qui accueille régulièrement de jolies têtes d’affiche. Au-delà du rock, le Havre organise tous les étés MoZ’aïque, l’incontournable festival dédié aux musiques du monde.
Le Havre, c’est aussi une terre de foot ! Le Hac, Havre athlétic club, est le doyen des clubs français. Pas plus tard qu’en juin, le stade Océane (plus grand stade de Normandie soit dit en passant) a vibré au rythme de la Coupe du monde féminine de football. Même David Beckham a fait le déplacement pour l’occasion, et c’est d’ailleurs sur les pelouses havraises que les Françaises ont battu le Brésil.
Ce n’est pas nous qui le disons, mais le quotidien britannique The Telegraph qui a sacré l’année dernière Les Bains des Docks, piscine futuriste dessinée par Jean Nouvel, la piscine urbaine la plus cool au monde. Avis aux amateurs de sauna, spa et hammam : c’est ici que ça se passe !
N’en déplaise aux détracteurs du béton, le centre-ville reconstruit par l’architecte Auguste Perret est classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Si vous doutez encore de son intérêt, la maison du patrimoine organise cet été une multitude de visites théâtralisées, enquêtes urbaines et autres activités pour en découvrir les richesses.
Preuve que l’architecture particulière de la ville attire, plus d’une centaine de films ont été tournés au Havre. Du grand classique Quai des Brumes au loufoque Disco, le décor inspire les réalisateurs. Netflix y tourne même l’ensemble d’une série !
La lumière si particulière du Havre a inspiré de nombreux artistes, et notamment les peintres impressionnistes. C’est ici que Claude Monet a peint son chef d’oeuvre Impression, soleil levant. La mer et le port ont aussi inspiré Raoul Dufy, comme le prouve cette exposition exceptionnelle organisée tout l’été au MuMa. Et comme la ville aime décidément la peinture, elle propose également en ce moment une immersion dans l’univers de Van Gogh.
Depuis les festivités qui ont entouré les 500 ans de la ville, l’événement estival Un été au Havre est résolument devenu tendance. Les installations d’art contemporain et animations qui s’invitent dans les rues de la ville séduisent bien au-delà des frontières de la Normandie.
Pour les gourmets, sachez que c’est ici que l’on trouve l’un des deux seuls restaurants affichant deux étoiles au Guide Michelin de la région : chez Tartarin. D’autres établissements, à l’image du Margote, se font progressivement une jolie place sur la scène gastronomique.
Preuve s’il en faut qu’on ne s’ennuie pas au Havre, la ville figure sur la troisième marche du podium des villes de France où l’on « matche » le plus via l’application de rencontre Tinder. Avis donc à ceux qui cherchent l’âme sœur, la cité Océane est, d’après ce palmarès, The place to be pour trouver l’amour.
Sans rancune pour nos amis de Topito, reconnaissons tout de même qu’ils avaient su dignement rendre hommage aux charmes du Havre il y a quelques mois en publiant le « Top 12 des raisons de penser que Le Havre défonce Rouen (et pas qu’un peu) ». Piochant dans cette liste non-exhaustive, nous avons retenu (sans aucune raison scientifique) deux arguments mettant fin au débat pour compléter ce top. Le premier : Alphonse Brown vient du Havre.
Le second : une étude de l’université de Hill Valley en Californie qui prouve qu’en moyenne les Havrais sont 86 % plus beaux que les Rouennais. « Et franchement quand on traîne dans les rues piétonnes du Havre, on voit que des bombes sexuelles », souligne Topito. Comme quoi, ils n’ont finalement pas tort sur toute la ligne.
Voir aussi:
Le patrimoine normand à la une des journaux gratuits Côté Rouen et Côté Le Havre (groupe Ouest-France-Publihebdos)
La crise sanitaire et économique s'acharne contre le tourisme normand:
L’INSEE Normandie a publié ce vendredi 18 décembre 2020 une analyse portant sur 2 secteurs économiques frappés de plein fouet par la crise sanitaire en 2020 : l’hébergement et la restauration.
En effet, bien qu’une saison touristique estivale ait pu finalement avoir lieu, permettant au tourisme normand de retrouver des couleurs malgré le contexte inédit, le mois de décembre entamé permet de dresser un premier bilan sur cette année complètement inédite et bouleversante, qui a particulièrement touché le secteur du tourisme.
S’il ne fallait retenir que quelques indicateurs clés, c’est sans doute du côté du marché de l’emploi que les chiffres sont les plus inquiétants.
Le document fait également état du bilan en termes de fréquentation touristique, mais aussi de dépenses touristiques grâce à une analyse des montants des transactions effectuées par CB, et également des mouvements de chiffres d’affaires des entreprises de l’hébergement et de la restauration.
Plus d’infos ici : https://www.insee.fr/fr/statistiques/4997217
Quelques nouvelles de la Normandie médiévale en tant que destination touristique:
La Région avec l’ensemble des acteurs touristiques, pilote une stratégie visant à faire de la Normandie une destination d’excellence sur la thématique médiévale.
L’objectif est de permettre à nos visiteurs de découvrir les grandes heures de la civilisation normande, de la période Viking jusqu’à la Guerre de Cent Ans, soit plus de 500 ans d’histoire.
A l’issu d’un travail collaboratif avec vous -acteurs de la Normandie Médiévale- nous avons défini une stratégie commune pour positionner la Normandie comme une destination de référence sur le thème du médiéval.
Pour partager cette ambition commune, vous trouverez les 2 documents de référence à consulter ou à télécharger :
Nous avons fait appel à Maxime Jourdan et Pierre Hurault, Les iodés, deux jeunes manchois, installés à Paris, pour assurer la livraison des fruits de mer dans les locaux de la radio dans le 15e arrondissement.
Les produits normands mis à l’honneur :
Les huîtres de Loic Danlos à Blainville-sur-Mer
Les bulots et les praires de Samuel Deshaye à Granville
Le saumon de la Maison Saumon de France à Cherbourg-en-Cotentin.
La coquille Saint-Jacques de Normandie
Les crevettes de l’île de Chausey
Menacée de démolition, l'église Saint-Germain-le-Scot est en sursis à Carteret. Malgré quelques pistes évoquées, le coût des travaux pourrait être un frein rédhibitoire.
Dangereuse, la vieille église de Saint-Germain-le-Scot, à Carteret (Manche), n’est plus accessible au public. Le diocèse, qui possède le bâtiment et le terrain, ne veut pas avancer les travaux et souhaiterait la démolir. Dans l’urgence, une association de défenseurs de l’église est en train de se constituer. Des voix se lèvent pour réclamer un support de la municipalité.
Actu : Vous avez évoqué ce dossier lors du conseil municipal de novembre...
David Legouet : Afin de savoir si la population voulait défendre l'église. Car s'il n'y avait personne, elle était démolie et on n'en parlait plus ! J'ai pu rencontrer le groupe des défenseurs après.
Pourquoi la municipalité ne peut pas intervenir sur ce dossier ?
D. L. : Comme elle a été construite après la loi de séparation de l'église et de l'état, Saint-Germain-le-Scot appartient au diocèse, tout comme le terrain. La municipalité ne peut pas mettre un euro dessus. On ne peut que constater. Et aider la future association par des subventions, qui ne couvriront aucunement le coût des travaux.
Combien coûterait la réparation de l'église ?
D. L. : Il y a d'abord l'étude des travaux, une étape qui coûte cher : par exemple, pour l'église du bourg, elle avait coûté environ 20 000 €. Il y a aussi l'étude géotechnique, c'est-à-dire savoir sur quels types de fondations repose le bâtiment, si c'est du sable ou de la terre. Puis les travaux en eux-mêmes : l'évêché a estimé un total de plus d'un million d'euros. Sachant que comme ce n'est pas une propriété publique, ils auraient à payer TTC, toutes taxes comprises !
Comment récolter la somme ?
D. L. : C'est la grande question. Beaucoup de personnes se sont rassemblées dans un groupe Facebook en proposant de donner pour l'église. Ils doivent rencontrer un architecte du patrimoine qui pourra connaître le montant d'une étude avant travaux. S'ils arrivent à obtenir la classification par la Drac (Direction régionale des affaires culturelles), elle pourra verser 50 % du montant, comme elle l'avait fait pour l'église du bourg.
On entend dire que la municipalité voudrait racheter le terrain afin d'y installer un immeuble ou un parking…
D. L. : C'est une absurdité. Les gens racontent tout et n'importe quoi ! On n'a aucune vue sur l'achat du terrain ! J'ai pu lire ça sur les réseaux sociaux, c'est hallucinant.
Et si l'église est démolie ?
D. L. : Dans le pire des cas, on a soulevé l'hypothèse de créer une chapelle de Carteret dans l'église du bourg. Car je sais qu'il y a un attachement fort pour ce bâtiment. Il y aurait ainsi un lieu de mémoire, avec tout le mobilier que le diocèse accepterait de nous offrir.
Aline Roumy, avec son association S'LA Charcot?, lance un appel aux dons. Cette Normande veut notamment acheter du matériel médical à commande oculaire pour permettre aux malades de continuer à communiquer. Elle espère aussi se faire prêter du matériel pour ceux qui veulent l'essayer.
A l’initiative de Bertrand Bellanger, Président du Département de la Seine-Maritime et Nathalie Lecordier Vice-présidente en charge de l’enfance et de la famille, de l’égalité des droits et de la santé, cette émouvante exposition met l’accent sur une thématique malheureusement encore d’actualité, celle de la violence faite aux femmes.
Il aura fallu deux ans de rencontres et de recueils de témoignages grâce au CIDFF, avant que des visages de femmes et des textes forts soient affichés sur les grilles du département de Seine-Maritime.
En tant que rapporteure pour le réseau des femmes à l’APF, je suis particulièrement attentive à ce que de nos jours, des femmes puissent trouver auprès des structures mises en place par les associations, tout le réconfort et l’aide dont elles ont besoin pour s’en sortir.
L’Art est un véhicule indéniable pour nous interpeller sur notre rôle à jouer dans cette société afin de la rendre chaque jour plus forte et plus solidaire.
CIDFF 76 : 02 35 63 99 99 – violences Femmes Info (24h /24) : 3919
Fin septembre, avec le soutien de mes collègues normands, j’attirai l’attention du Ministre de la Transition écologique et solidaire sur la situation préoccupante des marnières en Normandie.
Le Ministre, François de Rugy, a entendu notre demande et il a missionné le Conseil Général de l’Environnement et du Développement Durable (CGEDD) pour réaliser un état des lieux sur la gestion du risque des marnières. Des pistes d’amélioration des dispositifs en place seront proposées d’ici quelques mois.
L’ensemble des services seront mobilisées pour la réalisation de ce rapport : le bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Inéris), le centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Céréma), les universités, les sociétés savantes, la Direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) et les Directions départementales des territoires (DDT) des préfectures.
L’article Exposition à Rouen « des roses sous ma fenêtre » est apparu en premier sur Stéphanie Kerbarh Députée de Seine-Maritime.
La Ferme des Peupliers est une entreprise agricole qui transforme le lait de son élevage de vaches. Après une baisse des ventes en 2020, elle va bénéficier du plan de relance pour se moderniser et se développer.
Ciel couvert et faibles pluies, plus durables à l'est, particulièrement en Seine-Maritime
La rupture d'une liaison à haute tension alimentant Elbeuf-sur-Seine (Seine-Maritime) prive certains habitants d'électricité mais aussi d'alimentation en eau…
Sept hommes âgés de 17 à 21 ans ont été interpellés mardi 12 janvier dans plusieurs villes de France dont Rouen. Ces personnes font partie de l'entourage d’Abdoullakh Anzorov, le terroriste tchétchène originaire d'Evreux qui a décapité l’enseignant le 16 octobre 2020.
La Manche vient de connaître trois incendies mortels en quelques jours. Et ce n'est peut-être pas qu'une mauvaise loi de séries. Alors que le thermomètre est descendu en-dessous de zéro ces derniers jours, les pompiers insistent sur la vigilance de tous et l'entretien des appareils de chauffage.
L’un des projets de la municipalité est de planter des arbres fruitiers au Val-de-la-Haye.
A défaut de vous présenter ces projets lors de réunions (mesures sanitaires très restrictives obligent), voici donc quelques explications sur ce projet d’arbres fruitiers.
Tout d’abord, cette volonté de planter des arbres fruitiers dans le village répond à un double constat :
En conséquence de ce constat, la commission Environnement a élaboré un programme pluriannuel de plantation répondant à différents objectifs :
Les plantations d’arbres fruitiers s’étaleront sur toute la mandature (c’est à dire 6 ans) pour aboutir à la plantation de 300 arbres fruitiers nouveaux.
Trois principaux sites de plantation ont été retenus :
Pour obtenir des fruits rapidement, la saison de plantation 2020-2021 se situera tout d’abord sur le terrain Révil qui offre une bonne faisabilité technique et un sol propice aux pommiers.
Il va sans dire que les fruitiers plantés dans chaque quartier ne seront pas à l’usage exclusif de leurs riverains, mais accessibles à tous les Vaudésiens.
Sur le terrain situé à côté du lotissement Révil, c’est un choix de variétés de pommiers qui a été arrêté par la commission Environnement. Au total, 52 sujets en haute-tige seront plantés pour 2021.
Les variétés choisies étant : Bailleul-Gros-Hôpital, Belle du Havre, Reinette de Caux, Reinette de Dieppedalle, Astrakan, Belle de Pontoise, Belle fleur jaune, Double bon pommier, Gravenstein, Pigeon de Jérusalem, Rever, Pigeon de Rouen, Reinette du Neubourg, Richard, Transparente de Croncels, Reinette grise de Saintonge, Grand Alexandre, Eclat, Reinette grise du Canada, Châtaignier, Belle fille normande, Cramoisie de Gascogne, Calville du roi, Transparente blanche, Melrose.
Un poirier de plein vent viendra compléter cette belle famille de pommiers. Le poirier choisi est le Tabaltier. Réputé pour ses poires à douillons, il sera donc également planté, ainsi que deux noyers.
Pour les personnes qui souhaiteraient également effectuer des plantations sur leur propriété, nous avons obtenu de notre fournisseur la possibilité d’effectuer des commandes groupées pour avoir de meilleurs prix.
Si beaucoup de Vaudésiens étaient intéressés, nous pourrions aussi mettre en place des ateliers de plantation, de taille ou de greffage.
Avant d’avoir le plaisir de déguster nos premières récoltes ensemble, nous vous tiendrons régulièrement au courant des développements de ce projet.
L’article Les vergers du Val est apparu en premier sur Val de la Haye.
A Biville dans la Hague, comme à Fermanville dans le Val de Saire, le graffeur Blesea rhabille des vestiges de la seconde guerre mondiale aux couleurs de le pop culture.
Le président de la République, Emmanuel Macron, se rend ce mardi 12 janvier à Tilly (Eure) pour visiter une ferme spécialisée dans l'agro-écologie, un moyen de production qui s'appuie sur les écosystèmes.
Le ministère de la santé a communiqué ce lundi 11 janvier un bilan chiffré par région de la campagne de vaccination contre la covid-10. En nombre de personnes vaccinées et au regard de sa population, la Normandie est sur le podium. Mais la route est encore longue.
Le mois de décembre s’est envolé, et l’année 2020 avec lui. Si une grande partie du Japon a eu le droit à des chutes de neige, parfois très importantes, le Kantô a été épargné pour [...]
Cet article [Cher journal #45] Mon mois de décembre 2020 est apparu en premier sur Souvenirs à venir - Le blog Japon de Katzina.
Au Tréport et à Eu, et comme dans le reste de la communauté de communes des Villes Sœurs, on enregistre une forte augmentation du taux d'incidence à la Covid-19.