ROUEN NORMANDIE INNOVATION – STOP À LA DÉFORESTATION DU MADRILLE
Covid-19. Les deux concerts des Pixies programmés à Rouen sont annulés
Un village soudé autour de son restaurant : « les gens disent : faut pas que le bistrot crève. » Ça fait chaud au cœur
À Baudre, près de Saint-Lô, les clients et les voisins ont mis la main à la poche pour que l'Incognito survive au confinement. Le bar-restaurant est le coeur battant de ce village de 530 habitants. Sa réouverture a comme un goût de retour à la vie.
Panne d’électricité dans le centre-ville de Rouen : 5 400 foyers touchés
Philippe AUGIER bien en selle pour… sauver le PMU?
Mais le fringuant cavalier maire de Deauville, une ville aussi connue pour sa plage que pour son rôle éminent dans l'économie nationale et internationale de la filière équine, arriverait à la tête du Pari Mutuel Urbain dans un moment difficile de sa longue histoire avec de nombreuses incertitudes à gérer sinon à solutionner et que la crise sanitaire actuelle n'a fait qu'aggraver:
1° Les courses hippiques peinent à attirer un nouveau public: les encourts du PMU subissent depuis de nombreuses années une lente érosion. A l'instar de la musique classique en France, les courses hippiques sont menacées d'une fracture générationnelle et sociale en terme de public et d'image générale. On compte sur la volonté et l'imagination de Philippe Augier pour y remédier.
2° Pendant le confinement lié au coronavirus, les hippodromes ont été totalement mis à l'arrêt: il y a une urgence financière et, peut-être, une aide spécifique de l'Etat à négocier pour sauver la trésorerie des professionnels.
3° La filière équine professionnelle liée au PMU n'est pas assez intégrée ni assez organisée pour créer un lobby efficace dans la gestion et la défense des intérêts du cheval sportif, notamment en Normandie: il va falloir faire pleinement passer le message aux intéressés que la Normandie est LA région française du cheval et que le conseil régional de Normandie développe actuellement, en amont et en aval de l'activité du PMU, des outils structurants essentiels tel que le pôle de Goustranville (avec la délocalisation de la section équine de l'école nationale vétérinaire de Maisons-Alfort) ou un campus international du cheval au haras du Pin. La question de rendre plus visible l'évidence de cette excellence équine normande dans les événements nationaux et internationaux se pose aussi.
4° Dans ces conditions, la question que nous avions déjà ici posée va se poser encore plus:
Est-il judicieux de privatiser le PMU comme la Française des jeux l'a été dans le contexte actuel?
Avec le risque d'une perte de souveraineté financière pour assurer l'avenir d'une filière qui est l'héritière de l'une de nos plus belles traditions, notamment en Normandie?
Archive de l'Etoile de Normandie:
http://normandie.canalblog.com/archives/2019/07/03/37475199.html
Lire la brève suivante:
Philippe Augier, maire de Deauville, pressenti pour présider le Conseil d’administration du PMU
Selon Jour de Galop, mardi 26 mai 2020, Philippe Augier, maire de Deauville (Calvados), devrait être nommé président du conseil d'administration du PMU.
Mardi 26 mai 2020, selon Jour de Galop, Philippe Augier, maire de Deauville (Calvados), ville phare de la filière équine, et Président de France Congrès et Evénements depuis 2001, devrait être nommé président du conseil d’administration du PMU. Il remplacerait ainsi Bertrand Méheut qui a annoncé sa démission.
Une campagne publicitaire gratuite pour aider les commerçants et artisans, à Rouen
Le parc des Bruyères n’ouvrira pas au début de l’été comme prévu, à Rouen
Une jeune fille de 16 ans blessée par arme à feu en Seine-Maritime
Nico Sarro, le Jeff Buckley français ?
Au CH du Rouvray comme à l’hôpital public : non à la répression, oui aux ouvertures de lits

Le comité de soutien des personnels en lutte de l'hôpital psychiatrique du Rouvray se remobilise aujourd'hui. Fondé au printemps 2018 en appui à la grève de la faim qui s'y est tenue pendant 18 jours, il réunit des habitantes et des habitants de l'agglomération rouennaise, usagères et usagers de l'hôpital public en tant que patient·es ou aidant un·e proche souffrant de maladie physique ou psychique.
D'une part nous soutenons spécifiquement les agents du Rouvray visés par des procédures disciplinaires pour avoir lancé l'alerte, au début de la crise sanitaire, sur des consignes mettant en danger le personnel aussi bien que les malades (voir liens ci-dessous). D'autre part, nous défendons plus généralement l'hôpital public et l'accès universel à la santé et à une vie digne.
Nous avons de la mémoire et nous savons que la lutte du Rouvray en ce printemps 2020 s'inscrit dans une longue histoire. Une histoire locale, avec la grève de 2018 qui réclamait déjà des moyens pour du soin et qui luttait contre la maltraitance institutionnelle. Une histoire nationale, avec la grève de multiples services hospitaliers depuis des années pour la défense de l'hôpital public, avec le mouvement des Gilets jaunes, avec la lutte contre la réforme des retraites.
Alors que le protocole signé en 2018 n'est toujours pas respecté par la direction du Rouvray, alors qu'elle tente aujourd'hui de museler toute dénonciation de ses défaillances, alors que le management comptable reprend ses habitudes dans les hôpitaux tout juste libérés de la première vague de l'épidémie, nous appelons à soutenir massivement les soignantes et soignants du Rouvray, du CHU et de l'ensemble du service public de la santé.
Pour que le monde d'après ne constitue pas une aggravation accélérée de celui d'avant, mais son renversement complet, transformons chaque applaudissement en brique pour refonder l'hôpital public.
En nous protégeant collectivement au moyen de masques et avec une détermination sans failles, nous appelons à trois rendez-vous :
- mardi 2 juin à 18 h : rassemblement devant le CHU de Rouen pour l'hôpital public
- samedi 6 juin à 11 h : réunion du comité de soutien du CH du Rouvray
(contactez-nous sur soutienrouvray arrobase netcourrier point com pour y participer)
- mardi 16 juin : mobilisation nationale pour l'hôpital public}
Davantage d'informations sur la lutte du CH du Rouvray :
- « Près de Rouen, des soignants dénoncent « une chasse aux sorcières » au centre hospitalier du Rouvray » (Paris Normandie, 26 mai 2020)
- « Rassemblement de soutien aux « lanceurs d'alerte » de l'hôpital du Rouvray, près de Rouen » (76actu, 26 mai 2020)
- Captations sonores du rassemblement du 26 mai 2020
- Les autres articles sur l'HP du Rouvray sur À l'ouest
Suspicion de disparition en mer : des moyens de recherche engagés au large de Granville
Renault Alpine : l’usine de Dieppe ne fermera pas
Le constructeur automobile a confirmé la suppression de 4600 emplois en France. L'usine de Dieppe n'est pas concernée mais elle obtient un sursis de trois ans.
Après l’abandon de Louvel, un duel droite-gauche pour le second tour des élections à Rouen
« Sauve ton QG », le site internet normand partenaire des bars et des assoiffés solidaires !
Vous rêvez de retrouver vos amis dans votre QG ? Alors préparez ce moment en soutenant votre bar préféré, qui a tant souffert pendant le confinement. Comment ? En précommandant vos consommations !
Tourisme: La Normandie ce n’est pas: » ailleurs c’est ici! » La Normandie: « c’est nulle part ailleurs! »
On comprend pourquoi dans une ambiance de concurrence inédite entre les territoires de l'Hexagone pour attirer les touristes français d'après le confinement qui montraient, jusqu'à présent, peu de curiosité intellectuelle pour des régions qu'ils croient connaître sous prétexte d'y résider pour y vivre ou pour y travailler, le comité régional du tourisme normand aura pu hésiter sur le slogan d'une campagne médiatique d'urgence destinée à valoriser la Normandie telle une évidence qui, comme toutes les évidences, risque de ne plus être vue, telle le nez au milieu de la goule!
Le CRT Normandie a cru bon d'opter pour l'efficacité et la simplicité du message pour celles et ceux qui pourraient manquer d'imagination:
"La Normandie, ailleurs c'est ici". Une variation touristique du fameux principe "et en même temps" pratiqué par notre président de la République...
Le slogan appelle au dépaysement tout en restant chez soi en Normandie, notre région symbolisant aussi la proximité d'un week-end pour les Parisiens en mal d'inspiration.
Et de sur-imposer dans les visuels de cette campagne de promotion une carte postale venue d'ailleurs sur une vue emblématique de notre Normandie: par exemple, un morceau de falaise irlandaise, vient s'insérer presque parfaitement dans le calcaire éclatant d'Etretat.
Ou encore, un post-it venu de Californie se trouve collé sur la plage de Siouville-Hague dans le Nord-Cotentin, paradis des surfeurs normands (si, si ça existe!):
On croyait, pourtant, que la Normandie était le nom de région le plus connu au monde, justement après la Californie...
Vous l'aurez compris, cette campagne, ses visuels tout comme le slogan, ne nous convainc absolument pas et elle risque d'être un échec comme toutes fausses bonnes idées...
Car si nous devions pousser jusqu'à l'absurde le principe visuel et intellectuel de cette campagne de pub sur le mode d'un ailleurs qui serait en Normandie à l'occasion d'un détournement parfaitement pervers, cela pourrait aussi donner ceci:
"La Bretagne, ailleurs c'est ici!"
(Slogan du CRT normand détourné par un journaliste breton facétieux du Gorafi...)
Mais ici nous pensons et assumons TOTALEMENT l'évidence normande sans être retenus pas l'obligation de comparer et de vérifier si l'herbe du pré voisin est plus verte que la nôtre...
La Normandie, ce n'est pas "ailleurs c'est ici!"
"La Normandie, c'est nulle par ailleurs!"
Et tant pis pour les imbéciles qui seraient incapables de lire ce slogan... en entier avec toute l'intelligence que donne le coeur.
Fuite de gaz et incendies : après-midi chargé pour les sapeurs-pompiers de Seine-Maritime
Yvelines : deux voleurs interpellés à Achères grâce à un policier hors service

Déconfinement : les pressings et blanchisseries de Dieppe font le plein
Après 2 mois de fermeture, pressings et blanchisseries ont rouvert leurs portes. Pour les professionnels, il a fallu comme partout changer ses habitudes de travail en réorganisant l'espace mais aussi le stockage du linge.
Ils se battent à coups de couteau dans un appartement, près de Rouen : trois blessés
Coronavirus : le chômage augmente de près de 30 % au mois d’avril, en Normandie
13 ans après l’explosion de la caserne Koenig près de Caen, le militaire amputé attend toujours son indemnisation
Après 13 ans de difficile combat contre l'Armée et l'Etat qu'il idéalisait plus que tout, Christophe Caron, le militaire qui a perdu ses jambes dans l'explosion de la caserne Koenig attend de connaître le chiffrage de son préjudice. Il demande 1,5 million d'euros. On lui propose 224 000 euros.
Météo, prévisions en Normandie pour ce vendredi 29 mai et pour le week-end
Plafond bleu et soleil radieux pour une nouvelle journée en Normandie, avec un vent assez sensible
Avec son harmonica, Frédéric Yonnet fait swinguer Washington… et la Normandie
Frédéric Yonnet est un virtuose de l’harmonica. Né dans le Calvados, il vit aux Etats-Unis depuis 2001. Le musicien a joué aux côtés de Stevie Wonder et de Prince. Depuis le confinement, il partage sa musique avec ses voisins à Washington et aussi avec les Normands sur les réseaux sociaux.
Une enfant de 10 ans en paddle secourue par l’hélicoptère de la Marine nationale à 400 mètres du rivage
Les secours ont été prévenus ce jeudi 28 mai à 12h40 qu’une jeune fille de 10 ans se trouvait en difficulté sur un paddle à la dérive à plus de 400 m de la cale de Créances dans la Manche.
Déconfinement : « La liberté va redevenir la règle », ce qu’il faut retenir du discours d’Edouard Philippe
Réouverture des bars, restaurants et cafés, fin de la limite des 100 km.... Découvrez les annonces du Premier ministre sur la deuxième phase du déconfinement en France qui débutera le 2 juin.
Taxis de Rouen : « Il n’y a plus de boulot ! »
Les chauffeurs de taxi de l'agglomération rouennaise sont très inquiets. Malgré le déconfinement progressif, leur activité reste au point mort.
Témoignages : des soignants reviennent sur la crise du Covid-19 et évoquent leurs souhaits pour demain
Elle est aide soignante au CHU de Rouen, il est médecin urgentiste au Samu. Après 10 semaines de crise sanitaire et de promesses réitérées du gouvernement, ces soignants attendent maintenant des actes : plus de moyens et des hausses de salaire.
L’IMAGE. Des soignants rassemblés devant l’hôpital de Rouen pour dénoncer la prime Covid
Pays de Bray : un routier victime d’un malaise au volant de son poids-lourd
Le chauffeur a été transporté au CHU de Rouen par hélicoptère.